bon, les gaulois, je me suis masturbé les boyaux de la tête pour vous trouver un petit poème sur le village pour vous prouver qu'on était pas bons qu'à dire des conneries
Il existe toujours, au fond de la gaule
profonde
un peuple d'hirsutes aux neuronnes de
blonde.
Bien que peu évolués, aux
coutumes sauvages,
de leur mains ont contruit un village.
Pour communiquer, ils usent d' ondes
et pour se reconnaître leurs
pseudos abondent.
pour bien faire valoir une certaine
différence,
au peuple des gaulois ils signent leur
appartenance.
Les chevaux qui les caractérisent,
de race ancienne et solide,
les ont placés dans dans une
machine que certains disent sordide,
mais qui au bout du compte s'avère
fidèle et indestructible.
Bien qu'éloignée par la
distance des kilomètres,
cette grande famille où ne règne
ni chef ni maître,
a tissé des liens dont est née
une grande amitié.
Et si par malheur, un étranger
venait la gâcher,
le dédain et la colère
pourrait s'attirer .
Toi qui est seul et désemparé,
sur ta bécane fraîchement achetée,
saches qu'il existe quelque part une
toile récemment tissée,
dont les acteurs passablement ravagés
tes ennuis et tes peines te feront oublier,
car s'ils s'éclatent le soir, et
délirent à la fin d'une dure journée,
responsables et sérieux sur
tout sujet, ils savent se montrer.
Gaulois, certes tu pourrais devenir
encore faut il que tu en aies le désir
mais saches qu'en bon villageois et
chef de famille, avant, tu dois te conduire.
Non sectaires et encore moins
réfractaires les gaulois sauront t'accueillir
et pour ceux , ignorants des coutumes,
du language et de leur habillement
sachez que pour les reconnaître
Ils portent un casque dont les cornes sifflent au vent.
à modifier selon les goûts.....................................
et à remettre en page, j'sais pas comment qu'on fait